Fils unique d’un riche collectionneur d’art, Machisu révèle un talent précoce pour la peinture. Encouragé par ses proches, il peint en toutes circonstances. Mais le malheur met un terme à la vie privilégiée de l’enfant. Quelques années plus tard, le jeune homme pauvre et solitaire parvient à intégrer une école d’art. Il essuie les critiques sévères d’un marchand d’art mais le soutien indéfectible de Sachiko, une jeune employée qu’il épouse, l’encourage à persister dans sa voie. Arrivé à 50 ans, Machisu n’a toujours pas vendu une toile. Il reste néanmoins dévoué à son art. Avide de reconnaissance, Machisu, tel Achille, arrivera-t-il à dépasser la tortue ? (Allociné)

 De la recherche, c'est un peu ce qui m'a manqué dans ce film. L'intrigue est simple mais bien ficelé. Seulement, on se demande perpétuellement ce qui fait l'essence du film.C'est sur que ce film n'a pas été fait pour le public. Nous ne sommes pas transportés dès les premières minutes du film. Nous ne sommes pas emportés dans une quelconque réfléxion. Alors  POUR-QUOI?

Ce film n'est pas mauvais. Ce film n'est pas bon.
J'attendais du grand Kitano. Et malgré tout, on lui pardonne une troisième fois ses faiblesses.
Après tout n'est ce pas son année ?

 Ça peut se résumer à des magnets animaux ...
Si je vous jure...

Mais aussi un sourire, un rayon de soleil, un carré de chocolat, un moment shopping... J'ai conscience que je vous sors des banalités, alors si vous voulez être original. Offre moi des petits filous !

Que retenir du dernier Tim Burton? La toile en parle et reparle. Le film est loin d'être transcendant, et je pense être devenue une vraie aigrie de la 3D ! Je préfère retenir les jolis costumes, le make-up époustouflant, et les chaussures à tomber par terre...




Je vous passe les tests des produits de beauté griffés. J'ai juste envie de m'amuser avec mes pinceaux, de "peindre (mes joues) en rouge", d'oser giguendélirer avec mes chaussures en cœur (NB : Les Chie Mihara ci dessous), porter les chapeaux du Chapelier Fou !



Malheureusement, cela n'est qu'un immense rêve.. Je m'en retourne danser.

De quoi puis je bien parler ? 

Alors, il y a ceux qui jubilent, et les autres.
Vous qui n'aimez ni la mode, ni mon humour; passez votre chemin ! En quittant mon corps de thon, j'ai compris le bonheur de faire du shopping. S'approprier mes vêtements, souvent des pièces cheap, est l'occasion pour moi de me donner l'impression d'avoir un style. Avoir du style, ça aide à avoir confiance en soi ! 

Surtout quand Jude te dit "Si....tu ressembles au bloggueur, non aux photos du bloggueur mode" ou quand Mohamed s'exprime "Depuis que tu as les cheveux courts, tu es un peu devenu notre pote". Je vous aime les garçons ! 

--

• Quand tu rentres chez Uniqlo, ça t'arrache les yeux. Les escaliers sont bordés de néons, l'éclairage du magasin est plutôt violent. Et l'on ne peut oublier de mentionner les vêtements flashy soigneusement pliés.
   
• Quand tu rentres chez Uniqlo, tu ne sais pas ou aller. Les rayons sont un peu étroits... et on est forcément attirés par tout ces...vêtements si bien rangés !
  
  
• On se sent un peu au supermarché. Entourée de basiques, avec un choix étonnant de couleurs et de qualités, on ne peut résister ! On a envie de tout toucher, tout essayer.
  
  
• Le problème, c'est que les tailles japonaises sont parfois mal expliqués. Mais les vendeuses sont adorables et t'expliquent même ce qu'est un slim (même un thon sait!)
  
  
• L'avantage chez Uniqlo est mon cul de sirène rentre parfaitement dans les slims et toutes les autres merveilles du magasin !
  
  (En ce moment même, il y a une collection Alice aux Pays des Merveilles pour les femmes et Mangas pour les garçons !) 

Je conseille donc à tous (  thon et crevettes ) d'aller se faire son propre avis. Le magasin est tellement complet que chacun y trouvera son bonheur... Le seul problème est peut être le fait d'avoir envie d'y retourner ;-)